Même si les protéines de la viande tout comme du poisson se valent quasiment, l’idéal reste de privilégier la consommation du poisson gras car ses graisses sont tolérées beaucoup plus aisément par l’organisme que celles de la viande. En effet, contrairement à celles du poisson, les graisses contenues dans la viande sont des graisses dites saturées.
Dans certains cas, la consommation de ses graisses peut ainsi boucher la paroi des artères de la personne concernée surtout si cette même personne souffre d’antécédents en matière de maladies métaboliques et/ou chroniques à savoir le surpoids, l’obésité, l’hypertension artérielle, le diabète, etc.
Pour en revenir au poisson, en plus d’être plus digeste et facilement assimilable par l’organisme, ses graisses sont de bien meilleure qualité que celles de la viande. Quoiqu’il en soit, malgré la bonne qualité de ses graisses, il est quand même possible, pour toute personne, d’en varier la consommation en y associant la viande car ces deux (2) aliments sont des protéines animales. Riches en vitamine B12, les protéines animales sont donc indispensables à l’organisme de cette même personne.
Apport
Essentielle au renouvellement cellulaire, à la formation des globules rouges, au bon fonctionnement des neurones et du système immunitaire, la vitamine B12 renforce le métabolisme des lipides et des glucides. Cette vitamine est aussi bénéfique pour l’équilibre psychologique de la personne qui varie la consommation de ces protéines animales.
Josiane BADET
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