Alimentation : voici ce qu’il faut déjà faire face à l’endométriose

Au même titre que l’alcool, la caféine est une substance qui peut augmenter l’inflammation voire même perturber l’équilibre hormonal, ce qui pourrait favoriser une aggravation des symptômes chez la personne concernée (Photo : Dr)

Maladie gynécologique, l’endométriose provoque des douleurs pelviennes chroniques ou des crampes intenses au moment des règles. Même si les causes relatives à cette maladie restent quand même assez floues, certaines hypothèses indiquent qu’il pourrait s’agir d’une combinaison de facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux.

Les niveaux élevés d’œstrogène semblent également favoriser le développement du tissu endométrial à l’extérieur de l’utérus et il est en outre possible que l’endométriose soit liée à un dysfonctionnement du système immunitaire.  Quoiqu’il en soit, pour mieux y faire face, il faut déjà adopter de bons réflexes au niveau de l’alimentation.

Pour ce faire, il est important d’avoir une idée précise relative aux aliments à en limiter la consommation car certains de ces aliments peuvent exacerber les symptômes de l’endométriose provoquant, dans le même élan, une inflammation supplémentaire. Ces aliments sont les suivants :

Aliments riches en graisses saturées : les viandes rouges, les produits laitiers gras et les aliments transformés peuvent aggraver l’inflammation.

Le Gluten : bien que son lien avec l’endométriose ne soit pas définitivement prouvé, certaines femmes rapportent une réduction des symptômes après avoir éliminé le gluten dans leur alimentation.

Laure KOUAME

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