Grosseur(s) rempli(e)s de liquide(s) ou de matière(s) semi-solide(s), le(s) kyste(s) se forme(nt) sur (ou dans) l’un (1) ou les deux (2) ovaires de la (jeune) fille tout comme la femme. Assez fréquent(s) chez la personne pouvant donc y être concernée, ce(s) kyste(s) est/sont souvent indolore(s) et asymptomatique(s) mais dans des cas beaucoup plus spécifiques, il peut quand même arriver que cette et/ou ces grosseur(s) puisse(nt) être le signe d’une cause et/ou d’une affection sous-jacente.
Situés dans le bassin de la (jeune) fille ou de la femme, les ovaires contiennent les ovules et sécrètent des hormones liées à la reproduction notamment l’œstrogène et la progestérone. Pour en revenir aux kystes qui peuvent se manifester au niveau de ces ovaires, il en existe deux (2) principales catégories à savoir les kystes ovariens fonctionnels et les kystes ovariens organiques. Dans ces deux (2) principales catégories, il en existe plusieurs types comme, à titre d’exemple, le(s) kyste(s) folliculaire(s), lutéinique(s) (encore appelés kyste(s) du corps jaune), dermoïde(s), endométriosique(s), mucoïde(s) / mucineux, cancéreux, etc. Ceci étant dit, qu’en est-il du contexte lié à la manifestation éventuelle de toutes ces anomalies chez la (jeune) fille tout comme la femme ?
Signe(s)
Hormis l’ovulation chez la (jeune) fille tout comme la femme, les autres causes pouvant supposer le développement de ce(s) kyste(s) sont, de prime abord, une reproduction cellulaire anormale, l’endométriose, les infections ou encore les maladies inflammatoires pelviennes mais attention tout de même car, de façon générale, les plus petits kystes ovariens ne provoquent ni douleur ni symptôme. Cependant, à un certain degré, ce sont surtout les kystes d’un diamètre beaucoup plus important qui peuvent se manifester par une ou des douleur(s) abdominale(s), pelvienne(s) ou même lombaire(s) même durant les rapports sexuels de la (jeune) fille tout comme de la femme avec son partenaire. Il peut en outre arriver que cette (jeune) fille /femme puisse également être confrontée à un gonflement abdominal (souvent plus prononcé d’un côté du corps), à des règles douloureuses ou encore à des envies fréquentes d’uriner si le(s) kyste(s) appuie(nt) sur la vessie.
Prudence
Des symptômes persistants de kyste(s) ovarien(s) peuvent ainsi être le signe d’un Syndrome des ovaires polykystiques (Sopk). Le Sopk est une maladie qui provoque une irrégularité menstruelle et d’autres problèmes liés aux hormones, notamment la stérilité, l’hirsutisme (augmentation de la pilosité) et la difficulté à perdre du poids. Au niveau de notre plateforme d’information et de sensibilisation sur toutes les formes de maladie, nous essaierons d’en savoir un peu plus sur tous les aspects précédemment signifiés. Pour ce faire, nous allons donc élucider la thématique suivante : « le(s) kyste(s) ovarien(s) » durant tout ce mois de juillet de l’année 2025.
La Rédaction