Riche en fibres, en protéines, en vitamines, en antioxydants et en minéraux, le haricot vert est un légume qui permet de combattre plus efficacement les radicaux libres dans l’organisme. Ce légume favorise, également, un meilleur fonctionnement du cerveau tout en régulant, par la même occasion, la quantité de glucose dans le sang.
Que vous soyez diabétique ou non, sachez qu’il est tout aussi bon d’intégrer ce légume dans vos habitudes alimentaires. Par ailleurs, qu’ils soient séchés ou en conserve, les haricots verts peuvent être ajoutés à des salades, à des soupes et à divers autres plats… Ceci étant dit, voici quelques raisons qui pourraient justifier l’adoption de ce légume dans le régime alimentaire d’un(e) diabétique.
Agissent sur la sensibilité à l’insuline
Faciles à digérer, les haricots verts favorisent une meilleure sensibilité à l’insuline au niveau de l’organisme d’un(e) diabétique. Aussi, riche en fer et en magnésium, ce légume est excellent pour la santé du sang, des os et de la tension artérielle sans oublier le fait qu’il favorise, par la même occasion, la perte de la masse corporelle. Les haricots verts sont en outre recommandés dans des cas éventuels de constipation.
Réduisent le mauvais cholestérol
Les haricots verts agissent, de manière significative, sur l’organisme en réduisant le mauvais cholestérol surtout des personnes atteintes de diabète. Intégrer ce légume dans le régime alimentaire d’un(e) diabétique permet également de prévenir le risque de maladie cardiaque grâce notamment à sa teneur élevée en nutriments. Ces nutriments jouent, par ailleurs, un rôle majeur au niveau de la prévention contre le cancer, les maladies cardiovasculaires et l’obésité.
Aident à lutter contre l’arthrose
L’arthrose est une maladie rhumatismale qui se manifeste par des douleurs au niveau des articulations. Contenant du potassium, les haricots verts permettent ainsi de lutter efficacement contre ces douleurs en facilitant la circulation sanguine. Par ailleurs, la consommation régulière de ce légume aide à prévenir l’ostéoporose limitant ainsi le développement des fractures au niveau des os.
Josiane BADET